FETIDA

ou la théorie du compost

Un spectacle tout terrain pour les humains hors-sol

que nous sommes devenus

pour enfants ET adultes (à moins que ce ne soit l'inverse)

 

Obsolescence, scientifique géniale et un peu folle,

et Fétida, une "chose" étrange, pessimiste et bourrue,

arrivent d'un futur proche où il ne fait pas bon vivre,

à la recherche des humains des "Années plastiques".


Avec un grand projet :

les aider à sauver le monde... par le compost.

 

Un spectacle de : Pascale Heinisch

Mise en scène, direction d'acteur :  Jacques Barré

création sonore : Pascale Heinisch

 

La compagnie a reçu le soutien :

de la SPEDIDAM pour l'aide à la réalisation de la bande sonore et l'aide à la création-diffusion,

du Théâtre des Roches et du Théâtre de la Noue, Montreuil pour leur accueil en résidence de création.

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 Ce spectacle a été imaginé pour s'intégrer dans un projet global mêlant ateliers théâtralisés de jardinage et compostage, et "occupation" de sites par des happening de comédiens :

EN SAVOIR PLUS

Cette nouvelle création de la compagnie s'inspire avec humour de l'esprit "happening" ou "agit-prop" par le désir d'inscrire une action artistique "militante" dans un lieu de façon inattendue. Bousculer, provoquer, faire tomber quelques certitudes, ouvrir des pistes de réflexion, initier des discussions et peut-être des envies de changement, tel est notre modeste et ambitieux projet.

...Avec celui de faire rire ! De ces personnages farfelus, de nous-mêmes aussi peut-être. Car on ne "sauvera" pas le monde dans la morosité, et "Fétida ou la théorie du compost" est un spectacle aussi bête, régressif et jouissif qu'il est intelligent, pertinent et documenté.

"Au-delà du défaitisme qui nous paralyse, j'écris ce spectacle comme une invitation pleine d'énergie et de fantaisie à s'émerveiller de l'intelligence et de la beauté du vivant - afin de se mobiliser avec d'autant plus de détermination et de conscience. Dans un monde dans lequel nous nous sentons chaque jour un peu plus impuissants, c'est une façon de se réapproprier notre histoire... et ça commence par un geste tout simple : mettre ses épluchures dans la bonne poubelle et regarder la nature en action !"